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Communiqués de presse hors SFT

Le Goethe-Institut fait sa rentrée littéraire !

par Commission Soutien aux publications

le 28 septembre 2021

Un auteur et deux traductrices à rencontrer absolument !

Dans le cadre de l’événement D’UNE LANGUE VERS L’AUTRE
(www.goethe.de/strasbourg/dunelangueverslautre), le Goethe-Institut de Strasbourg propose deux rendez-vous littéraires  à ne pas manquer :

  • Mardi 28 septembre, 18h
    Rencontre avec l’auteur Chris Kraus et sa traductrice française Rose Labourie
  • Jeudi 30 septembre, 18h30
    Rencontre avec la traductrice allemande Sonja Finck

 

Lieu : Goethe-Institut, 7 rue Schweighaeuser, Strasbourg
Langue : en français
Entrée libre sur inscription obligatoire : info-strasbourg@goethe.de, 03 88 67 31 42 (pass sanitaire à présenter).

Rencontre avec l’auteur Chris Kraus et sa traductrice française Rose Labourie

À la gravité de La Fabrique des salauds – succès phénoménal en 2020 en France - succèdent la légèreté et la fantaisie débridée de Baiser ou faire des films, un roman puissant et drôle, dans lequel Chris Kraus poursuit son étude de ces familles hantées de fantômes nazis. Le tout sur fond d’hommage au cinéma et à la scène artistique et littéraire des années 1990.

L’auteur et sa traductrice française Rose Labourie viennent nous parler de ces deux ouvrages, en dialogue avec Caroline Ast, directrice des éditions Belfond.

Rencontre avec la traductrice allemande Sonja Finck

Partageant son temps, sa vie, ses cultures et ses langues entre Berlin et Gatineau (Canada), Sonja Finck (1978) est traductrice de romans, récits, pièces de théâtre, textes scientifiques et films documentaires. Elle traduit du français, de l’espagnol et de l’anglais vers l’allemand. Elle a étudié la traduction littéraire à l’Université Heinrich-Heine de Düsseldorf et traduit notamment les œuvres de Annie Ernaux et Mathias Malzieu, des auteures canadiennes Jocelyne Saucier et Ava Farmehri ou encore de l’auteur beninois Ryad Assani-Razaki, du journaliste-auteur algérien Kamel Daoud et de l’homme de théâtre libanais Wajdi Mouawad.

 Dans son mémoire de fin d’études sur Assia Djebar, Sonja Finck abordait déjà de manière critique les questions d’« (in)visibilité » et de « transparence »,

d’« original(ité) » et d’« autor(ité) » dans le domaine de la traduction. Lors de cette rencontre animée par Esther Mikuszies, directrice du Goethe-Institut de Strasbourg, Sonja Finck, membre de l'Association des traducteurs littéraires du Canada et de l'Association des traducteurs d'œuvres littéraires et scientifiques de langue allemande, nous parle des jeux de langues et de cultures, de son rapport aux textes qu’elle traduit, du métier de traductrice…

par Commission Soutien aux publications

le 28 septembre 2021

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