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Retour sur la JMT 2025 à Paris

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Le 25 octobre 2025, la délégation Île-de-France de la SFT a organisé une après-midi de rencontres et d’ateliers pour célébrer la Journée mondiale de la traduction.

Accueil des participant·es

L’évènement, organisé en partenariat avec l’Association des traducteurs littéraires de France (ATLF) et l’Association pour la traduction en sciences sociales (ATESS), s’est tenu à l’AGECA dans le 11ᵉ arrondissement et a réuni plus d’une centaine de personnes, dont un grand nombre d'étudiant·es. Parmi les professionnel·les de la traduction et de l’interprétation, étaient présent·es Iman Massoud (directrice du master Traduction spécialisée et interprétation de l’INALCO), Gisela Heymann (directrice du master Interprétation de conférence à l’ISIT) ainsi que Bruno Chanteau (ancien président de la SFT).

En première partie d’après-midi, un trio d’interprètes – Ophélie Derancy, Nathalie Greff-Santamaria et Andreea Batany –, interrogé par Stéphanie Bauche (déléguée de la SFT en IdF), a fait découvrir au public les multiples facettes du métier d’interprète : les différents types d’interprétation, les parcours de formation, les contextes d’intervention, les conditions d’exercice, le quotidien des interprètes, etc.

 

Dans le même temps, Pierre Girard (ATESS) animait un atelier intitulé « Traduire les sciences sociales : entre traduction et recherche ». L’objectif était de présenter les particularités de ce travail, à la croisée des contraintes propres à toute traduction et des exigences spécifiques aux écrits académiques. À partir d’extraits de texte, l’atelier abordait également la place qu’occupent, dans le champ de la traduction en sciences sociales, les recherches rédigées dans des langues autres que l’anglais.

Andrea Batany, Ophélie Derancy

et Nathalie Greff-Santamaria

Atelier d'initiation à l'interprétation

En seconde partie d’après-midi, Ophélie Derancy et Andreea Batany ont animé un atelier d’initiation à l’interprétation. Au travers d’une série de mises en situation et d’exercices, les participant·es répartis en groupes de trois ont pu s’exercer à différents types d’interprétation (consécutive sans et avec notes, simultanée avec bidules) et à différentes pratiques (écoute active, déverbalisation, reverbalisation).

Dans une autre salle, Margot Grellier (autrice du podcast Langue à Langue et invitée de la Matinale du mois de mai dernier) interrogeait Gérard Meudal, le traducteur français de Salman Rushdie. L’occasion pour ce journaliste, venu à la traduction sur le tard, de revenir sur son parcours, ses débuts de traducteur littéraire, sa « rencontre » avec l’œuvre de Salman Rushdie et sur les relations entre l’auteur et son traducteur. Une discussion passionnante !

Une après-midi riche au cours de laquelle les étudiant·es en master de traduction et interprétation ont posé de nombreuses questions sur les métiers de la traduction et de l'interprétation et leurs conditions d’exercice, et ont pu discuter avec des professionnel·les.

 

La délégation Île-de-France tient à remercier tout particulièrement Ophélie Derancy pour l’aide généreuse et précieuse qu’elle a apportée à l’organisation de cette JMT, ainsi qu’à sa collègue Andreea Batany. La délégation remercie également Nathalie Greff-Santamaria pour sa participation et se réjouit de l’accueillir en tant que nouvelle déléguée dès janvier 2026.




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