La SFT rencontre la Direction générale des entreprises

Cette première rencontre a permis d’évoquer les difficultés que connaît le secteur, mais aussi de souligner plus largement les risques associés à l’utilisation de l’intelligence artificielle en traduction sans contrôle d’un professionnel. Ont également été abordés, entre autres, les questions de propriété intellectuelle, les longs délais de paiement du ministère de la Justice pour les services des traducteurs et interprètes experts, ainsi que la valorisation et la visibilité de nos métiers. 

La SFT a plaidé pour que le gouvernement français montre l’exemple en ne subventionnant pas les projets de traduction recourant à l’IA et pour que soit menée une réflexion commune en vue d'une future réglementation.